Le 1er mars 2010, le Tribunal canadien du commerce extérieur a annoncé qu'il avait décidé de ne pas déposer l'examen à mi-parcours des droits antidumping et antisubsidus sur les vis à cloison sèche originaires de Chine continentale et du Taipei chinois.
Le 6 janvier 2010, le Tribunal a conclu que la reprise du dumping de certains éléments de fixation en acier au carbone en provenance de Chine et du Taipei chinois et la reprise du subventionnement de ces produits en provenance de Chine causeraient vraisemblablement un dommage à la branche de production nationale. L'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) continuera donc d'imposer des droits antidumping et compensateurs sur ces produits. Le Tribunal a également conclu que le dumping de certaines pièces d'attache en acier inoxydable du Taipei chinois ne causerait vraisemblablement pas de dommage. L'ASFC ne continuera donc pas d'imposer des droits antidumping sur ces produits.
Le 22 janvier 2010, une entreprise canadienne appelée Leland Industries Inc. a présenté une demande au Tribunal canadien du commerce extérieur, alléguant que les vis pour cloisons sèches ne devraient pas être exclues du produit concerné, exigeant un examen à mi-parcours des enquêtes antidumping et antisubventions vis originaires de Chine continentale et du Taipei chinois. Le Tribunal canadien du commerce extérieur a estimé que si les vis pour cloison sèche étaient incluses dans le produit concerné, elles devraient modifier les codes douaniers du produit concerné. Bien que, conformément aux lois et règlements pertinents au Canada, le Tribunal n'initialise pas de réexamens sur les produits qui ne font pas partie du produit concerné. Par conséquent, le Tribunal a conclu à ne pas déposer l'examen à mi-parcours des mesures antidumping et antisubventions sur les vis à cloison sèche originaires de Chine continentale et du Taipei chinois.